New publication by experimental media group from Nantes - Poétique(s) du numérique

Poétique(s) du numérique
Ouvrage collectif dirigé par Sophie Gosselin et Franck Cormerais

Quelles pratiques et formes d’expression s’inventent à travers l’appropriation des technologies numériques ? En quoi le développement de ces technologies bouleverse les découpages entre champs disciplinaires, générant des pratiques transversales liant création artistique, recherche scientifique, développement technologique, pratiques médiatiques ?
Inversement, comment ces réagencements et recompositions dans les relations entre champs disciplinaires et usages des technologies nous conduisent-ils à réviser et à repenser le statut, la place et la fonction de la technique dans nos pratiques sociales et créatrices ? À travers la mise en jeu d’expériences et d’expérimentations poïétiques (arts de faire et faire de l’art) se dégagent des dynamiques et mutations générées par les développements technologiques actuels dans les pratiques d’invention et de création collective.
Cet ouvrage prolonge la réflexion amorcée lors du colloque intitulé Poétique(s) du numérique, organisé par APO33 (collectif artistique) et le CERCI (centre de recherche universitaire), qui s’est tenu à Nantes en 2006 dans le cadre du festival Scopitone (Olympic, Nantes). Il réunit des acteurs, créateurs et chercheurs issus d’horizons disciplinaires multiples, autour d’une réflexion sur les nouvelles formes de création liées aux développements et à la diffusion des outils numériques (internet, systèmes interactifs, technologies télématiques, dispositifs évolutifs et/ou distribués, pratiques en réseau ou collaboratives…). C’est en tant que partenaire de la collection « l’électron musagète » qu’Alphabetville (dont la fondatrice, Colette Tron, est intervenue dans le colloque) participe à cet ouvrage.
En marge des approches traditionnelles du champ de la création numérique, cet ouvrage propose tout autant une approche critique des mutations engendrées par les technologies numériques qu’une mise en perspective des ouvertures qu’elles rendent possibles. À travers la poétique du numérique s’esquissent les prémisses d’une reconfiguration de l’espace social et politique : une po(é)litique à venir.

ISBN : 978-2-912877-98-7 / Collection L’électron musagète
Domaine : Multimédia - Sciences humaines / Genre : Essai
Format : 15 x 21 cm, 192 pages
Prix : 19 euros
Parution : Octobre 2008

LES AUTEURS :
David gé Bartoli, Philosophe-artiste développant des dispositifs expérimentaux dans la production philosophique, artistique et littéraire. Il est chargé de cours.
Franck Cormerais, docteur en philosophie et en sciences de l’information et de la communication, est maître de conférences.
Philippe Coutant, militant politique en recherche.
Jacques A. Gilbert est Maître de conférences en langues étrangères appliquées et Chercheur au CERCI.
Sophie Gosselin, artiste-philosophe. Chargée de cours, membre d’Apo33 (laboratoire artistique, technologique et théorique).
Alex Haché est Chercheuse activiste.
Antoine Moreau, Artiste. Chargé de cours.
Brandon LaBelle, artiste et écrivain travaillant le son, les espaces, les corps et les récits culturels.
Julien Ottavi, médiactiviste, artiste-chercheur, musicien et performeur, membre fondateur d’APO33.
Esther Salmona est diplômée de l’École Nationale Supérieure du Paysage de Versailles. Elle explore les relations entre la musique, le son et l’espace.
Jean-Paul Trichet, Ingénieur de recherche et conservateur du Centre de documentation et de recherche de l’UFR Lettres et de Langues.
Colette Tron est auteure, critique.

Machine Project at LACMA

A Machine Project Field Guide to the LA County Museum of Art:

November 15, 2008
Noon til 10pm

Ten hours of performances, workshops, and events which experiment with LACMA’s encyclopedic collections and expansive grounds. Featuring over 60 projects dispersed across the seven-building, twenty-acre campus, visitors are encouraged to explore the museum in new and unexpected ways.

El Cliente Siempre Tiene la Razón

Seis conferencias en el marco del V Foro de Arte Público, acerca de la relación entre el arte, las instituciones, y la economía, con expertos nacionales e internacionales:
SI TODOS SOMOS ARTISTAS, ¿QUIÉN ES EL PÚBLICO?
(Jueves 13 de noviembre, 19:00 hrs)
Bernardo González-Aréchiga (Economista, Director de de la Escuela de Graduados en Administración Pública y Política Pública (EGAP) del ITESM, Monterrey)
Anselm Jappe (Filosofo, especialista en Guy Debord y profesor en la Escuela de Bellas Artes de Frosinone, Italia, vive en Tours, Francia).
EL MUSEO DE LO CONTEMPORÁNEO Y EL TIEMPO DE LA OBRA DE ARTE
(Viernes 14 de noviembre, 19:00 hrs)
José Luis Barrios (Filósofo, Director de CURARE y docente en la UIA y la UNAM , Ciudad de México)
Peter Osborne (Filósofo, Director de Centro de Investigación de Filosofía Europea Moderna de la Universidad de Middlesex, Londres)
¿QUÉ NOS UNE? EL MUSEO: MEMORIA COLECTIVA O EL MERCADO COMO FORMA DE COLECTIVIDAD
(Sábado 15 de noviembre, 12:00 hrs)
Luis Galindo (Antropólogo, Director del Museo de la Diversidad , Caracas, Venezuela)
Ernesto Piedras (Economista, Director de The Competitive Intelligence Unit, Ciudad de México)

A BRIEF TIME ONLY

If you'd like more info about how to participate in this exhibition, you can click here.

Going Pink

Walking through Paris one morning, and coming upon this pink street, I was wonderfully impressed and jarred by the intervention, somehow an act of graffiti occupying an unusual space, that of the street, a horizontal plane, with no direct message, but a block of color as its only signifying image, no scrawl or tag but a pure sign (I only notice the few letters to the side afterwards, upon looking at the photo... but at the time, my eyes delighted in the color alone, like a swath of cotton candy gone missing...), which made me linger along the street, to trace the pink, as an action-painting without masculine angst, but a light agency (pink rights, gay pride, or just some candy-coated excess initiated by late night guerillas) turning the street into a space of laughter or at least smiles.

Buren meets Picasso

Daniel Buren's current intervention at the Picasso Museum in Paris inspires a second glance, causing a stir in the perspectival understanding of the building. Cutting through the entire building, a one-sided mirrored structure moves from the front courtyard through the interior's three floors, to arrive out the back, as a further extension into the garden. The cut is literally a perfect mirror image - located directly in the center of the building the work is an unavoidable invisible gesture, disturbing while also seemingly leaving intact the architectural image. A form of spatial magic, a supplementary object, a fold or a house of mirrors, Buren's reworking of the Picasso Museum might be said to celebrate an extravagant form of minimalism, recalling previous works, such as Robert Smithson's mirrored displacements or even Dan Graham's reflective pavilions, where mirroring seems to function as a material insertion that offers means for extended reflection on the question of perception and place.

more Bucky reflections

After seeing the impressive show at the Whitney this year on Buckminister Fuller, I've been noticing a resurgence of Bucky discussion. I recently bought a used copy of his astonishing book Critical Path which 'summarizes' (in 409 densely written pages!) his ideas and design principles. Also, just out are some reflections on his legacy in this month's Artforum.